un tit deuxime (2ièm post sinon :s)

Um alors là c'ets un peu plus complexe et ca touche à un de mes Persos de rps.

Anatoly Diustong, professeur de Duel
Directeur de Serdaigle
Ancien sous directeur du bureau des aurors en France (Police d'éliét si vous préférez.

Oui ca touche à l'univers Harry potter..

Dans ce rp, on va découvrir ce qui a fait que sa vie est devenu si fade,e t pourquoi il est aussi froid et distant.

Action en italique, Parole en gras


L’homme marchait par automatisme, chaque pas s’entendait.Chaque pas le rapprochait un peu plus de ce c groupe d’homme.Chaque pas était comme une envie de plus de pleurer pour l’homme..Chaque pas entraînait un peu plus chaque larmes sur les joues de l’homme.Chaque pas le rapprochait un peu plus de ce qu’il savait déjà.Comprenait t’il que sa vie était finie ? Se doutait t’il qu’il venait de perdre la personne qui l’aimait le plus ? Savait il que plus rien en compterait vraiment.Il ne cherchait pas à comprendre, il ne réfléchissait même pas.Ses yeux perlés de larmes ne lui permettaient pas de réfléchir.Il se souvenait.Tout revenait en lui.Un bloc de souvenir, plus qu’il ne pouvait supporter, et à chaque fois que quelque chose lui revenait et se dévoilait, c’était un nouveau sanglot..

Il se souvenait de ces yeux marron, si simples, si doux.Ses yeux qui avait remplacé bien plus que toute autre chose des paroles..Des paroles pleines d’émotions.Chaque mots étaient aimants, les yeux donnaient plus que de simples émotions.. Pourtant lorsque la voix s’exprimait, alors plus aucune musique n’avait vraiment de beauté.Cette douce voix légère, avec un petit ton amusé…N’importes quels mots, même dit avec froideur, ne pouvait qu’être beau.La voix était sucrée, l’entendre était un plaisir continue..

Et puis il y avait ces gestes si simples et pourtant si expressif, toujours dosé, toujours présents.Lorsqu’en de rares occasions les mots manquaient et que les yeux ne pouvait aider, les mains douces étaient là, empruntent d’une chaleur simple.

Jamais plus il ne l’entendrait, jamais plus il ne la verrait.Jamais plus il ne la serrait dans ses bras, il en la sentirait plus si présente, il ne ressentirait jamais plus cet joie que de al serrer dans ces bras, d’être franc, de s’ouvrir..

Devant, à quelques mètres de l’emplacement elle s’étendait, les yeux ouvert, une expression de tristesse installée sur le visage.C’était la dernière image qu’il aurait d’elle, c’est d’une fille triste.Celle de sa fille morte.Les larmes s’arrêtèrent et les pensées affluèrent.Incertaines et incompréhensibles.Il ne savait que faire comment réagir, s’il devait pleurer ou s’il devait hurler.Il avait envie de tout faire et en même temps rien que d’y penser le fatiguait, plus rien n’aurait changer quoi que se soit..

Il avança.Les pieds n’osant trébucher ils traînaient par terre, désireux de se laisser aller au sol..A un mètre du corps se sont les genoux qui flanchèrent, laissant l’homme s’abattre juste devant elle.Il se traîna pitoyablement au plus près du cadavre.Ses mains se levèrent, pleine de larme et se portèrent d’elle-même jusqu’au visage, les doigts d’une des mains se mirent sur la joue et l’effleurèrent doucement, ils remirent une mèche de cheveux derrière l’oreille laissant le visage libre.Les doigts restèrent un moment là stupidement bougeant légèrement sur la joue, caressant le visage de la jeune fille..Il hésitait, il hésitait à ne pas la saisir et à la serrer dans ses bras.

La scène changea en quelques instants l’homme s’était remit, remit à pleurer.Pourtant les pleurs étaient différents.. Il était face à une réalité.Tout à l’heure il pleurait une incertitude une peur, un évènement encore inconnu, mais là il pleurait de Tristesse, de peur face à l’avenir.Il n’avait plus d’avenir, il serait faible, lâche mais il en pourrait pas.Comment pourrait il vouer sa vie à quelqu’un qui n’était plus là, à cause d’une erreur, à cause de sa volonté à faire le bien..

Il passa ses mains sous le corps vide de toutes réactions et le souleva, très légèrement, pour sentir le contact pour se sentir près d’elle.. Il enfouit son visage dans le cou de la jeune fille au milieu des cheveux, il respirait avec rapidité, le cœur lui hurlant de hurler.. Certains cheveux lui piquait les yeux, mais il ne fit pas un seul geste pour les repousser, il sentait l’odeur de la jeune fille cherchait à en imprégné sa mémoire à tout jamais, il ne pouvait pas, il ne voulait pas oublier cet odeur.

Il releva la tête et plongea son regard dans l’infini néant des yeux morts.. Mort de cette passion, de cette vie..Ces yeux avaient tant donné de joie, de bonheur, d’amour, et en cet instant où il aurait plus qu’autrefois agir de même, tout ce qu’il transmettait c’était une tristesse sans pareil, la tristesse de ne pas avoir revu son père avant.. Avant la fin.Il n’y aurait plus de jamais, parce qu’il n’y aurait pus de tout.

Il enfouit sa tête dans le cou de la jeune fille toujours noyé sous l’importante chevelure brune, douce et soignée.Il pleurait toujours, une colère commençait à l’envahir, une envie de vengeance, mais il en pouvait pas.Elle était là, morte devant lui, il ne pouvait s’empreindre de colère sous pareil yeux..

Peu à peu son souffle se calma, ses yeux se fermèrent stoppant le flot de larmes.Son cœur cessa de battre avec puissance il ralentissait de plus en plus, comme s’il se laissait tranquillement s’endormir, comme s’il se laissait mourir..Toutes les émotions se mêlaient puis finalement disparurent.L’homme s’était endormi calme, serein : le monde s’arrêtait.

Ce ne fut que quelques minutes plus tard qu’il se réveilla une main sur son épaule le secouant doucement.L’homme sembla vouloir relever Anatoly qui ne se laissa pas manipuler.Plus vigoureusement les mains le saisir et le tirèrent en arrière le forçant à se relever.Un vent frais balaya les deux hommes, Anatoly ressentit un froid intense au niveau des jambes, il baissa les yeux et aperçu un épais liquide rouge sur lui..Il regarda à l’emplacement du cadavre et remarqua le sang qui s’élevait telle une fleur tout autour du corps.Il esquissa un geste pour retourner auprès de la jeune fille mais cette fois si, il en pu lutter contre els deux bras qui ‘empoignèrent et qui el forcèrent encore à faire quelques mètres en arrières..

L’homme se pencha, il portait une robe de sorcier bleu foncé, un uniforme.L’homme devant lui était grand plutôt bien bâti et possédait des yeux d’un bleu intense quoi faisait contradiction avec ses cheveux brun.C’était le subalterne d’Anatoly.Un auror.Il posa ses deux mains sur les épaules de son chef et posa son regard droit sur la visage de l’homme, la mine grave.Il tenta de faire un sourire mais s’en ravisa, le réconfort en servait à rien, plus à rien en tout cas.

Diu..Anatoly..Tu ne peux pas pleurer, pas maintenant.Elle est encore là, elle se cache quelques part nous devons la trouver.Même ce qui vient d’arriver est tragique tu ne peux y penser tant qu’elle sera en liberté.Aides moi à la capturé, elle sera jugé et elle paiera..Ne fais pas justice toi-même, penses à ta fille..

Anatoly regardait fixement le jeune homme en face de lui, il ne savait très bien comment réagir, se laissé aller et se remettre à pleurer, accepté que tout soit finis, se relever puis avancer ; Ou alors resté sans émotions et partir à la recherche de cette personne, sans penser à comment agir en l’ayant retrouver, et au final ne pas accepté vivre avec en y repensant et en souffrant.

Anatoly dessina un léger sourire sur ces lèvres un sourire malveillant, et d’un bond il se leva, ne jetant pas un seul regard au cadavre de sa fille un peu plus loin, il sortit sa baguette, et fit un signe de tête en direction de son suppléant.Il le regarda fixement quelques instants puis fit un signe de tête pour dire qu’ils devaient y aller..Ils partirent donc els deux dans le village en feu à la rechercher de cette femme si recherchée.

Les deux hommes arpentaient les rues la baguette en arrière le bras tendu derrière soit, chacun couvrait un côté de al rue dans laquelle il marchait.Il n’y avait plus rien qui tenait, soit les maisons étaient effondrées au sol soit elles brûlaient avec violence, emportant les corps de leurs propriétaires en poussière..Aucun des deux hommes n’essaya de sauver une personne vivante dans els décombres.Il était peut être auror et la sécurité des civils étaient leur premier objectif, mais il y aurait plus de morts encore s’ils ne retrouvaient pas le coupable, maintenant

Durant deux heures les deux hommes ne cessèrent de marcher, cherchant dans les moindres recoins une trace de al femme qui aurait pu trahir sa présence et révéler son emplacement aux yeux des deux aurors, ils finirent pourtant par retrouver un tube de rouge à lèvre sur le sol.Il n’en fallut pas plus pour les deux hommes pour lever leurs baguettes au dessus de la tête scrutant avec appréhension les lieux environnant.

Puis comme au début de la soirée les évènements prirent un aspect de ralentis, de fin..Un sort fusa prononcé par une voix joyeuse.Ce premier frappa un des sorciers dans le dos qui s’effondra au sol, lâchant sa baguette, ne le laissant même pas souffler une dernière fois, avant e le laisser partir hors de ce monde.La scène reprit une vitesse plus normal, l’homme resta se jeta par terre sur le côté lançant plusieurs sortilèges..

Il se releva bien vite la baguette le long de son bras qu’il avait relancé, il dévisagea un instant la jeune femme puis fit un large sourire, qui déformait son visage, un sourire de Haine, de dégoût, de mort prochaine..Il s’avança un peu et repris une position de Duel plus adapté, la baguette en arrière..

La femme sortit de l’ombre où elle se trouvait se découvrant, habillé d’un ensemble moldu en cuire qui lui donnait fière allure elle fit un petit sourire provocateur.Elle glissa son bras dans le dos, plaçant elle aussi sa baguette dans son dos..

Anatoly Diustong.. J’ai eu du mal à trouver votre lieu de résidence..Mais je l’ai trouvé.. Vous avez vu votre maison est légèrement..Dégradée, il faut dire que votre jeune fille c’est défendu, incroyable ce qu’elle a pu faire preuve de ténacité..

L’homme fit un mouvement de baguette presque imperceptible, une mèche de cheveux de la femme en face de lui coupé s’envola doucement s’écrasant quelques mètres plus loin avec douceur sur les pavés de la rue..